20 février 2019
A vos calepins, la fête des grands-mères approche à grands pas, et cela sera pour le dimanche 3 mars 2019 ! Quelles sont les inoubliables expressions de nos mamies chéries ? Quelles sont les grands-mères auxquelles on aimerait tous ressembler ?
Instaurée en 1987 par la célèbre marque de café du même nom, cette célébration est à présent bel et bien instaurée dans les mœurs et chacun y trouve désormais l'occasion de remercier sa propre grand-mère !
Pour la fête des grands-mères, ce sont aux petits-enfants de chouchouter leurs mamies en passant du temps avec elles ou en leur offrant des cadeaux (consultez notre article sur les meilleurs cadeaux à offrir à votre mamie).
Quelles soient brillantes, sportives ou studieuses, les « super-mamies » que nous allons vous présenter démontent avec justesse les clichés. Elles incarnent le renouveau, source de joies, de découvertes, et de nouvelle vie :
C’est un fait, on aimerait tous leur ressembler et il n’est d’ailleurs peut-être pas encore trop tard pour réveiller la « super-mamie » qui est en vous ! Chez Les Amis d’Hubert, nous sommes sûrs que votre mamoune a elle-aussi de super pouvoirs. Pas forcément besoin d’être inscrite au livre des recors pour être unique ☺
La fête des grands-mères est également l’occasion de vous rappeler ces expressions indémodables qu’on a tous entendu au moins une fois :
« C’est pour la Saint-Glinglin ? »
Vous ne connaissez personne qui se prénomme « Glinglin » ? C’est normal ! Cette expression typique nous rappelle notre grand-mère en train de rouspéter contre notre grand-père.
« Il fait frisquet »
Si votre grand-mère utilise cette expression, c’est qu’elle se soucie de la température extérieure, « frisquet » faisant référence à des températures fraîches. Cette expression s’avoisine au « Il caille » d’aujourd’hui. Eh oui ! Quand on y pense, un jour aussi nos expressions feront l’objet d’interrogations ☺
« Filer un mauvais coton »
« Filer un mauvais coton », c’est prendre une mauvaise direction qui mènera vers des ennuis.
Cette expression qui remonte au XIXème siècle est de moins en moins utilisée dans l’Hexagone.
« Ça m’a coûté trois francs six sous »
« Trois francs six sous » est une somme d’argent ridicule. Pour comprendre cette expression il faut remonter au temps des sous, nom donné à différentes monnaies depuis l’antiquité. A la fin du XIXème siècle, cette petite somme représentait une journée de travail d’un ouvrier dans une usine de production ou à la mine. Le passage à l’Euro a limité l’usage de cette expression : « Ca m’a coûté 3 euros 6 centimes » : bizarrement ça ne fonctionne pas !
« Dire des messes basses »
« Dire des messes basses » signifie discuter avec quelqu’un de façon à ce que personne n’entende ce qui a été dit. L’origine de cette expression remonte à la fin du XIXème siècle, à l’heure où, lors des messes religieuses, le prêtre récitait des prières qui étaient difficilement percevables.
L’ouvrage « Inoubliables expressions de grand-mère », aux Éditions de l’Opportun nous replonge entre joie et nostalgie dans les expressions de nos grand-mères. L’auteur, Jean Maillet, nous livre 365 formules (une par jour pendant un an) : celles qui ont bercé notre enfance, celles qui résonnent dans nos mémoires et celles qui agissent telles des madeleines de Proust !
Et vous, qu’allez-vous faire pour la fête des grands-mères ?